Langage Angelique, universel et créateur des mondes

Le Langage du langage,

le langage des pensées

La maison des esprits

 

 

 

 

 

 

Le monde existe parce qu'il n'a pas encore commencé:

\Note:(Si on ne perçoit que ce qui n'est plus ( passé) on ne communique en échange qu'avec ce qui sera peut être (futur) et donc n'a pas encore commencé)

 

pour ne pas alourdir les textes je ne ferais pas de citation philosophique;

 

Ce site ne décrira que la philosophie de cette approche.  Des publications plus précise se feront par des documents adjoints sur 4 axes de recherche:

   .Meta logique et existence,

    .Meta physique,

    .Langage angélique formel,

    .Systeme de pensée programmable;

 


 

     L'existence d'un langage universel qui permettrai de penser la pensée est ce que j'appel poétiquement le LANGAGE ANGÉLIQUE.

    Tout univers et tout monde en serait l'oeuvre, sa création ( d'où le nom d'angélique), le langage vient avec le monde comme ce qui permet la communication entre ses parties pour exprimer un tout presque cohérent.

    La définition que nous donneront au langage sera donc beaucoup plus vaste que celles des langages du vivant et elle sera à l'origine de nombreuse autres définitions en cascade.

     \(Pour éviter tout mal entendu et incompréhension, Tout ce qui se présente ici n'est valide que dans le cadre des définitions que nous donneront aux concepts);

        

 

La conjecture initiale:

    L'origine de toute chose et monde est la RELATION et tout ce que son fait incontestable implique (puisque nous sommes dans un univers, une matrice d'existence);

     Ce qui serait totalement séparé n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais, il reste dans le trans fini imaginaire à jamais, toujours, sans maintenant;

     Donc ce qui est n'est jamais tout à fait séparé, il n'y a donc que des abîmes subjectifs qui semble séparés seulement parce que leur union est inconsciente et donc toute brisure est une FÊLURE qui ne se connait pas.

     De plus l'existence de quelque chose implique la finitude qui est donc un accord commun pour exister ensemble, la temporalité ne peut commencer que par cette fermeture sur un soi, l'infini est un imaginaire pur, l'ouvert indéfini et infini qui entoure toute fermeture, c'est pourquoi l'union ( relation) d'une existence partagé développé un esprit commun, accord qui permet de traverser cet indéfini, infini relégué dans l'inconscience.

\(De là vient le fait que toute connaissance implique une ignorance, et que toute prise de conscience cache une inconscience, et que toute vérité n'est possible que comme ce qui n'est pas encore révélé ( non accessible));

 

Définition du langage:

   Tout ce qui permet de communiquer des informations entre des parties fermées sur elles même et séparées (par des ouverts) et dont le but est de les faire coexister ensemble dans une bulle de cohérence ( une classe d'analogie ).

   Ces informations échangés sont toujours des représentations imparfaite de leur réalité commune par chaque identité isolé en sa propre représentation et incommunicable en totalité

      \( l'identité existence qui conserve toujours une part de mystère afin d'exister pour les autres);

 

    Ce qui pourrait se communiquer en totalité n'existerai plus car n'aurai plus de raison de communiquer et d'exister 

\( ce qui communique est inaccompli, l'information est son accompli partiel mais ne peut tout en accomplir;

  

   c'est de là que provient la fêlure entre 

.le quantifiable qui permet de compter et donc de discerner et de distinguer subjectivement

.et la qualité qui permet de comparer et reconnaitre par ses structures de classifications et d'organisation des quantifiables communiqués.

Remarque: le quantifiable est superposable et communicable, c'est la lumière ( bosons) sémantique alors que la structure qui organise un savoir sur le monde n'est pas superposable et pour être communiqué doit être linéarisé suivant un ordre issue d'un accord commun ( un LANGAGE d'échange de l'intime) );

    Ce principe du langage 

Se retrouve donc à tout les niveaux de l'univers ( entre les particules, les molécules, la vie naturelle ou les communautés animales et humaine)

    Il peut donc utiliser n'importe quoi ( particule et onde, ombre, molécule, variation du milieu commun etc...) à la condition d'avoir établit un accord toujours subjectif de reconnaissance ( un protocole dans les cas simple, un langage pour les cas complexes).

 

Définition de l'information:

   Ensemble organisé et structuré ( qualité, définis ) de sous informations et de niches de variations (indéfinis);

   L'information fait donc coexister les incompatibles du DÉFINI STRUCTUREL et de L'INDÉFINI VARIATIONNEL;

    Cela n'implique pas nécessairement qu'il y ait une base élémentaire absolue de l'information par contre il doit y avoir toujours une BASE ÉLÉMENTAIRE relative et SUBJECTIVE qui est un présupposé du langage qui les manipule.

      \( ces nécessaires limites élémentaires de l'information sont L'HORIZON DE CONSCIENCE et de langage qui permet d'exister ensemble par un accord sur une élémentarité commune qui n'est jamais objective ni absolue;

     De là vient la confusion insoluble entre le sujet du langage et le sujet qui utilise le langage qui renvoie à l'énigme qui fait coexister le pouvoir du monde sur la pensée et le pouvoir de la pensée sur le monde dû au fait que l'existence d'un monde ne peut pas être absolu et objectif sans se perdre dans des infinis, pour exister il doit définir des limites qui par nature seront subjective);

 

 

Fondement du langage:

 

   Le langage angélique ne se fonde ni sur des vérités, ni sur des certitudes, ni sur des absolus mais sur des invariants semantique ni vrai, ni certain, ni absolu mais éternel. ( compris comme ce qui vient avec.. )

    Qui croit avoir compris le phénomène du Méta langage n'en comprend pas son essence tout comme qui n'est pas choqué par la mécanique quantique ne l'a pas comprise, pourtant sont fait incompréhensible ne lui interdit pas d'exprimer des sous structures cohérentes, il n'est donc ni chaotique bien que basé sur

des paradoxes ( inaccompli créateur )

et des ambiguïtés ( indiscernable origine )

et des absurdes ( potentiel libre non orienté )

 

Définition des invariants sémantique:

  Les invariants semantique sont les causes mais aussi les conséquences du fait qu'il y ait quelque chose de pensable, comme ils viennent avec la pensée ils sont éternel non pas parce qu'ils préexistent au monde mais parce que s'il y a un monde alors ils en font partie. 

   Quoiqu'on fasse il resterons toujours comme des conjectures ce qui confirme la constatation que s'il y a une pensée c'est parce qu'elle ne peut pas se résoudre en absolu.

    L'existence d'un absolu totalement défini rendrai l'énigme impossible et la pensée vide de sens...;

La pensée et tout ce qui l'accompagne, langage, monde communiquant, esprit des choses etc...ne peut pas se fonder sur des absolus (perte de son utilité d'accord), des vérités ( perte liberté créative) des certitudes ( perte de sa nécessité) sa cause fondu en sa conséquence ne peut être que le fait mystérieux de la "question" originelle qu'on ne peut que signifier par nos représentations.

 

 Définition de la faille sémantique à l'origine de ses invariants:

   Une faille semantique est une brisure de symétrie qui ne peut pas devenir une rupture totale;

    C'est d'ailleurs pourquoi elle est à l'origine des propriétés d'une part d'abstraction et de signifié qui accompagnent nécessairement toute représentation formelle SIGNIFIANTE et concrète signifiante;

    Et la conséquence en est l'apparition d'un langage pour les réunir ( SIGNIFIANT>: LANGAGE:<SIGNIFIÉ).

    Il y a des invariants semantique parce que il y a des inséparables qui entre en désaccord et deviennent discernable;

    Aussi grande que soit la division ce qu'on divise garde toujours un peu du "souvenir" du tout uni ( le symbole du yin yang le représente à la perfection )

 

Définition non temporelle du souvenir:

Une part commune aux autres en toute partie de partition ;

Le souvenir et donc la possibilité de la temporalité vient avec ce qui est séparé sans pouvoir se briser totalement.

Le temps commence quand ce "souvenir" communique au travers de la force semantique avec les autres parties;

 

Définition de la force semantique:

La force semantique est le principe abstrait transcendant de toute force qui se traduit en action.

C'est Une information qui produit une mutation sans mesure commune mesure avec ce qu'elle est en soi ( infime ) en tirant partie des énergies et structures de celui  qui l'intègre à son état ( local, singulier indéfini )

La communication de l'information par un langage commun ( accord de reconnaissance ) permet de passer outre les limitations de quantité entre les états locaux.

La force semantique permet ainsi à chacun d'agir à distance sans avoir à transmettre tout les paramètres et les éléments formel et concret nécessaire à son action.

Cela implique qu'il y ait un accord implicite ( qu'on ne peut remettre en question singulièrement), entre les parties et cet Accord est le langage qui les réuni.

La force sémantique est le fondement de la réalité semantique.

 

Définition de la réalité semantique:

La réalité est l'accord implicite entre tous et c'est pourquoi elle est si réelle et concrète parce que aucune partie ne peut la remettre en cause sans ne plus exister pour les autres.

C'est un autre invariant semantique, la réalité est bien une illusion mais c'est une illusion commune impossible à rompre donc qui maintient prisonnière en elle toutes les existences qui en son "complice" ( une complicité qui peut évoluer de l'amour et compréhension mutuelle vers la haine et soumission mutuelle).

 

\sur le plan humain c'est d'ailleurs le moyen récurant de création et de fixation des communautés, seul celui qui est complice reste prisonnier;

L'amour apparait alors comme l'unique moyen de parler de l'implicite et d'orienter la communauté vers un système d'accord authentique et librement choisi.

 

 

 

Listes non exhaustive des invariants semantique qui fonde les langages:

 

Un langage sont des langages ( les babels ):

 

   Il n'y a pas de différence fondamentale entre les langages du monde matériel et les langages qui permettent de le penser et de le communiquer.

Le monde physique est lui aussi une sorte de langage en communication perpétuelle du niveau particulaire jusque dans toutes les configurations d'existences complexes qu'il est capable de soutenir.

C'est la première constatation, il n'y a jamais un langage mais une multitude de langages imbriquées ou en voisinage;

    Donc un langage se construit toujours sur un sous langage qui lui permet de fonder des certitudes, il le transcende tout en héritant de ses structures cachées implicites.

    Il permet de constituer un monde particulier sur un niveau de communication.

De plus un même niveau de monde est constitué de plusieurs langages traduisible les uns dans les autres.

Propriété de traduction en un autre de tout langage:

Un langage qui ne serait pas traduisible du moins en partie dans les autres langages n'est pas un langage et de même pour qu'il soit il faut qu'il existe un sous langage concret sur lequel s'appuyer pour se penser.

C'est Cette propriété de traduction et de fondement qui nous nous induit à penser qu'il existe un langage universel .

    Mais comment concilier le singulier avec la richesse du pluriel?

C'est impossible et donc le langage angélique est une configuration abstraite de plusieurs langage en communication et traduction.

 

Définition: Le singulier et le pluriel, la faille indissociable entre l'imaginaire et le concret:

 

   Le défini et l'indéfini, la faille entre l'abstrait et le formel: 

   Le singulier sémantique est toujours abstrait et informel et s'imagine depuis le pluriel de ces formalisations concrètes, singulier et pluriel sont dissemblable mais inséparable;

Le singulier ( la chose) qui choisi de rendre discernable une part du pluriel ( les choses ), lui confère l'indéfini ( une chose ) c'est à dire lui confère une variabilité;

    Ce qui est défini est abstrait, du fait on ne retient que son comportement donc la relation qu'il établit avec son entourage, 

alors que l'indéfini est formel, le fait est tout entier dans ce qui est formellement, son état signifiant;

 

Le local est donc un singulier indéfini; ( une chose : indifférence)

Le global est un singulier défini; ( la chose :  référence)

 

Ni absolu, ni relatif: L'absolu et ses paradoxes, ( l'accord contre la vérité )

 

l'absolu doit être aussi relatif pour être absolu:

   Peut on définir une élémentarité capable de représenter tout les langages?

Peut on tout représenter par un langage?

Cela revient à se poser la question de savoir si le fini peut contenir l'infini?

  Beaucoup de question qu'on est amené à se poser sont inutile et ce qui est inutile n'a pas à être posé.

Il y a-t-il une vérité absolue?

 

   Pourtant tout est défini seulement dans un cadre de pensée, communiquer au sujet de choses qu'on n'a pas défini ensemble est un langage de sourd, chacun comprenant ce qu'il veux bien;

   Une vérité absolue n'aurai pas de cadre de pensée, par nature la pensée est relative à d'autres pensées, elle ne tire sa validité que d'un accord commun.

    Tout langage se fonde donc sur un accord et non pas sur une vérité;

D'ailleurs une vérité absolue rendrait inutile la communication, la communication est nécessaire parce qu'il y a des choses à redéfinir en permanence et donc qu'il y a toujours un indéfinissable.

   Un langage c'est un accord entre des parties et un langage universel ne serait donc pas un langage;

Et pourtant....

   Cela implique qu'un langage universel ne peut se fonder sur des élémentarités absolues, et donc qu'il doit être mutable, et ce qu'il pourrait avoir d'absolu en lui ne peut se situer que dans des principes transcendants, ce que j'appel les invariants semantique qui ne sont pas des certitudes mais des incertitudes insoluble qui font l'office d'absolu sans l'être vraiment;

   Il faut bien comprendre que toute représentation du langage universel n'en est qu'une représentation imparfaite et donc il n'existe pas tout en existant quand même dans les signifiés de ses signifiants;

   L'hypothèse d'un langage universel absolu revient à dire que la construction du langage entre signifiant et signifié n'est plus nécessaire et donc il n'y aurait plus langage.

 

   Il est un IMAGINAIRE PUR tout comme l'est l'infini qu'on peut étudier sans jamais pouvoir le représenter et tout comme l'infini ses propriétés choquent le sens commun ( par exemple exister sans exister vraiment )

Le langage est la vérité relative des mondes dynamique et relatif, la vérité absolu ne peut l'être que pour des représentations statique et fini;

   Le langage angélique n'est donc plus tout à fait un langage parce qu'il intègre une variabilité et adaptabilité intrinsèque, en fait le langage angélique est quand on tente de le formaliser, la VIE dans son acceptation universelle.

   Les langages commun permettent de formaliser des organismes ( système de cohérence et organisation ) les langages angélique formalisent la VIE dans son universalité.

Pour rire un peu, je dirais que c'est pour ça qu'on le cherche sans le trouver, parce que on en est une représentation 

 

définition humoristique et pourtant sérieuse de l'introuvable:

     Est introuvable ce qui se cherche lui même hors de soi, cette propriété est le fondement même des invariants sémantique qui fondent le langage angélique.

 

Les Origines et la confusion de la pensée:

 

   Il y a toujours une transcendance

Quelque chose qui aurait un début et une fin à partir de rien est un absurde créateur, de même quelque chose qui n'aurait ni début ni fin est de l'ordre énigmatique;

   Tenter de penser les origines de quoi que se soit c'est comme tenter faire ou écrire  la feuille sur la même feuille où on fait et écrit, encore une fois la seule réponse possible est de l'ordre de l'énigme, de l'au delà, du transcendant;

    Si il y a quelque chose c'est parce qu'il y a une cohérence qui implique des relations de dépendances, la relation et son mystère est donc à l'origine de toute chose mais on ne peut rien en penser, on ne peut que penser ces conséquences.

 

   C'est l'esprit qui met en relation les choses pour les percevoir ou alors les choses expriment des relations que l'esprit met en représentation, dans tout les cas il n'y a pas l'un sans l'autre, le fait est indissociable de son interprétation;

Les faits sont indissociables de leur interprétation:

   Les faits sont incommunicables ce qui est communiqué ne sont que leurs interprétations, c'est d'ailleurs cela qui donne une utilité au langage comme un accord commun au sujet des faits;

( le principe de moindre action s'applique aussi à la semantique l'existence de quelque chose a une cause ( raison d'être ) et une utilité )

   C'est aussi pourquoi tout langage intègre cette dualité, des signifiants subjectif en correspondance avec des signifiés relativement objectif.

    La forme ( construction de langage ( la pensée)) ne fait que représenter ce qui est informel en absolu;

Un fait communicable n'est plus un fait mais une interprétation sinon il suffirait de transmettre le fait...

    Le fait est ce qui n'a pas d'apparence absolu, l'interprétation est ce qui lui donne une apparence relative;

Ce "fait" fait coexister réalité et esprit de cette réalité chacun étant dépendant de l'autre.

L'existence d'un monde en communication par des langages est esprit tentant de connaitre le non esprit des faits;

 

Les 4 domaines de représentation et de conscience: 

 

Rien ne peut se réduire uniquement à ce qu'il est ou montre de lui même( apparence)

   -L'existence est relative à une autre, elle existe concrètement en relation;

( par exemple compter est une possibilité donné par le fait du discernement, le quantifiable et le discernable sont indissociable)

   -Les articulations entre les relations concrète ( communiquant ) sont les apparences formelles qui construisent et organisent des méthodes mécanique pour représenter le vécu;

( par exemple le résultat le nombre 4 )

   -Cette apparence formelle a des propriétés qui sont abstraite de son vécu méthodique et expérimentale, elle ne sont que signifié par les possibles des formes;

( par exemple  les propriétés de nombres qui existe parce qu'il y a un vécu quantifiable et des formes signifiante de ce vécu )

   -Finalement ces abstractions mènent à d'autres plus subtiles qui ne sont plus dans le vécu mais signifié par  la logique en un imaginaire qui la complète et apporte des réponses qui seraient introuvable sinon, c'est la part transcendante et créative de toute réalité;

( par exemple le nombre imaginaire  i=racine de(-1) qui n'a plus rien a voir avec le fait de compter quelque chose, de l'exprimer dans un signifiant formel et d'en étudier les signifiés symbolique )

Toute conception du monde qui ne prend pas en compte ces 4 domaines de représentations ne peut pas appréhender le réel.

Tout ce qui existe est à la fois:

   .VÉCU,

   .SIGNIFIANT formel et virtuel de ce vécu,

               La polarité matérielle.

               Et en miroir:

   .le SIGNIFIÉ abstrait et symbolique caché dans les formes et leur possibles,

   .L'IMAGINAIRE qu'appelle en retour les failles symbolique afin de se compléter( cohérence), de se résoudre(consistance) et se limiter dans un fini(stabilité) qui ne peut être que symbolique d'infini formel et concret;

\(Par exemple le nombre PI est formellement et concrètement infini par contre on peut en donner une représentation symbolique par ses propriétés et des formules infini mais qui peuvent être décrite de façons fini parce qu'elles présentent des cohérences et des symétries;

Une formule infini sans aucune cohérence est indescriptible symboliquement par contre on peut l'imaginer sans tenter de la représenter ( l'infini est un imaginaire pur ))

               La polarité de l'immatériel toujours présent dans le matériel.

Chacun de ces 4 domaines de représentation a sa propre logique et son propre langage qui se traduisent suivant la ligne de relation qui les uni;

les 3 relations:

     Imaginaire=symbolique, le créateur,

     symbolique=formel, la création,

     formel=concret, la créature;

 

C'est pour cette raison qu'on tentera de developper une méta-logique quadri-dimensionnelle non booléenne, sur les 4 domaines de:

     .L'EXPERIMENTABLE ( le refutable ),

     .LE POSSIBLE ET L'IMPOSSIBLE ( la consistance ),

     .LE VRAI ET LE FAUX  (la cohérence ),

     .LE BIEN ET LE MAL ( le sens ou jugement relatif à une volonté imposé );

Avec 4 états logique qui sont (8) afin de juger de ce qui existe ou pas:

     .1.PARADOXE, ( le contradictoire)

     .2.AMBIGUÏTÉ, ( indiscernable)

     .3.ABSURDE, ( sans but ni fin )

     .4.VRAI, ( ce qui est croyable )

-------

    -1.FAUX, 

    -2.inutile ou hors cadre,

    -3.inconnu,

    -4.croyance;

 

Les 4 derniers états sont assimilable aux 4 premiers:

    Le FAUX est indissociable du VRAI, mais on peut aussi l'assimiler logiquement au paradoxe, ce qui est paradoxal étant FAUX et le VRAI à la croyance;

    l'inconnu est ce qu'on cherche dans l'indéfini ( indiscernable), qui est un cas de l'ambiguïté.

    L'inutile est une sorte d'absurde, quelque chose qui est là alors qu'il ne devrait pas y être ou alors une boucle sans fin qui n'a pas de sens;

 

    L'existence en question et le danger des non définis:

 

    S'il y a un mot pour dire quelque chose, c'est parce qu'il a un signifié, un langage qui se respecte doit donc pouvoir définir des concepts abstrait tel que Dieu, esprit, conscience, âme etc... et donc initie une sorte de cosmogonie dans ses propres fondement.

    La plupart des confusions et contradictions au sujet de l'existence ou la non existence de cela sont absurde tant qu'on ne définit pas ce qu'est exister.

Quelque chose qui n'existerai pas en absolu personne n'en parlerai, donc la question est plutôt de savoir dans quel domaine de conscience quelque chose existe ou pas car quoiqu'on fasse si on en parle c'est qu'elle existe quelque part;

    La non existence absolu n'existe tout simplement pas en ce monde;

     La pensée perdu dans l'infini, l'enchainement sans fin des signifiants et des signifiés:

     Quoiqu'on fasse il y a toujours un signifié par le signifiant mais à son tour comprendre le signifié le transforme en un signifiant d'un signifié plus subtil et abstrait, et ainsi de suite à l'infini;

Le signifiant qui est représentation ne pouvant jamais se confondre avec son signifié produit la pensée perpétuelle 

( un signifié qui serait son propre signifiant n'existe plus dans le pensable, il est hors du monde, il n'existe pas, il n'a pas existé et n'existera pas.)

Il est donc vain de chercher la vérité du tout, la formule du monde, car alors elle ne serait plus pensable, qui la trouve la perd immédiatement, il ne peut la posséder par sa pensée.

Chaque SCHÈME DE PENSÉE n'a donc pas une origine élémentaire définitive ni une fin de compréhension définitive;

    Les schèmes ont un horizon de devenir et un horizon de cause, ils se situent sur une ligne de mutation transcendante qui renvoie des éclairs de conscience suivant la configuration de présence qu'il tente de comprendre par analogie avec lui même; 

  On ne peut donc pas prétendre les enfermer dans une définition étroite de ce qu'ils sont parce qu'ils sont des fibres de l'infini sémantique.

( c'est pourquoi je les ai assimilé aux lignes ou arborescence ouverte, les SAVOIR )

On ne peut rien penser, ni developper sur une base élémentaire flou et mouvante tel que je la décrit tout système pour exister s'assure d'une base solide, une fondation ( axiome, définition etc... ) et pourtant il est possible d'imaginer un système capable de remettre en cause ses fondements il suffit que cela soit inscrit dans ses fondements.

 

Le langage de la vie:  

    Il faut changer de paradigme au sujet de la compréhension, s'il n'y a pas une théorie du tout, il y a par contre des explorateurs du tout, cela rien ne l'empêche.

    Le langage angélique doit définir cette possibilité de la remise en compte (rébellion) de ses fondements seulement ainsi il devient un moule ou matrice créatrice de vie.

    Il peut être créé mais il peut aussi migrer vers des états non prévus qu'il a compris dans son milieu d'existence.

    Le langage en soi n'est pas vivant mais il contient la vie dans ses structures et celui qui le lit et l'utilise devient vivant comme un lecteur dont la vie viendrait de sa lecture et non pas sa lecture prenant vie par son lecteur.

 

 

 

Et une méthode de pensée non conventionnelle:

 

   On remarque que tout ce qu'on étudie en général est extrait d'un vécu concret et formel;

   Par contre l'étude d'un langage de la pensée s'il s'appuie bien sur un vécu, ne possède pas de formalisme ( comme celui des nombres par exemple ) sur lequel on pourrait s'appuyer pour en extraire des abstractions et des imaginaires; ( les langages humain sont trop subjectif inconsistant pour servir)

   C'est pourquoi j'ai recherché une base formelle au langage universel et je n'en vois pas d'autre que celle que je propose.

La relation immanente est l'origine semantique de toute existence:

Le langage formel que je propose se base sur des objets mathématique que sont les GRAPHES ISOMORPHES.

    En les redéfinissant un peu, on peut commencer leur description à partir d'un simple fait qui est celui de la relation, leur articulation n'étant qu'un autre type de relation;

    L'origine des mondes est ainsi repoussé dans sa transcendance spirituelle ce qui est bien en accord avec ce qu'on observe et élimine les incohérences et absurde:

     Là aussi affirmer que si il y a une RELATION IMMANENTE en toute existence fait apparaitre 4 types de relations:

 

     .La RELATION, l'acte de discernement ( concrète ),

     .L'ARTICULATION entre ces relations qui est un type de relation non défini et variable entre les relation défini ( permet de créer des formes et des signifiants )

(  définir implique que ce qui sépare est un indéfini, tout comme ce qu'on ferme (en topologie) implique un ouvert indéfini en ses bords qui l'entoure, 2 fermeture ne peuvent pas exister ensemble car elles seraient séparé à jamais )

     .Les RELATIONS IMPLICITES ( symbolique signifié )

( celles qui manquent et permettent le complémentaire et aussi à des formes non connexe d'exister comme un tout pseudo connexe ),

     .Les RELATIONS TRANSCENDANTES ( imaginaire )

( les formes pouvant être classé par ressemblance il se crée des relations d'analogie entre elles de même tout type de mutation cohérente les rassemble dans une relation globale QUI transcende les relations concrètes);

Esprit et système de relation:

    S'il y a un monde, il est en relation donc la racine unique de toute chose est la relation et L'ESPRIT est ce qui établit des relations.

    Les éléments constitutif de ce langage formel de la pensée et des mondes sont donc des objets qui modélisent des systèmes de relation:

    Dans L'IMAGINAIRE, ils seront les SCHÈMES de pensée,

    Dans le SYMBOLIQUE, les ENTITÉS relationnelles de ce qu'on ne connait que depuis la relation qu'on établit avec elle,

    Dans le FORMEL, le virtuel, les FORMES relationnelles et méthodique de ce qui se construit de lui même,

    Dans le CONCRET les ACTES de communication ( ces actes peuvent être statique si le monde qu'on décrit est statique par exemple en géométrie, les actes sont les axiomes et les formes les théorèmes, les conséquences des actes );

   

    Les propriétés des formes font qu'on n'a pas besoin de définir plus de concept autre que cette relation immanente et énigmatique car de nombreux concepts en sont extrait tel que:

Identité; Dimension, espace et symétrie; Quantité, Qualité; Ouverture et fermeture; clarté et confusion;

    Il peuvent décrire Toute forme topologique et les concepts d'achiralité ( forme tordu) etc...

Ils possèdent des opérateurs et des classifications très complexe se prêtant à des interprétation semantique variés etc...

     Et de plus ils sont dans la plupart des cas simple, représentable par un dessin ( ∆, ◊,V,= etc...) ce qui permet d'en proposer des formes artistiques aux multiples variations;

 

Les schèmes:

    Constatons que si il y a un pouvoir, il y a un savoir de ce pouvoir, et un devoir qui doit s'y adapter pour l'avoir.

Aussi simplement sont les 4 types de schèmes qui organise le monde.

    On peut les classer suivant 4 types de SCHÈMES semantique en relation avec les 4 types de formes relationnelle:

.les POUVOIR, énergies et action potentielle, les inaccomplis  ( forme composé de sous forme et non connexe),

.les SAVOIRS, les lignes et les arborescences, toute forme ne contenant pas de cycle)

( ils sont savoir parce qu'il symbolise par leur forme des correspondances entre extrémité chaque extreme étant une variabilité),

.les DEVOIR, les identités qui sont le centre signifié par les matrices ( les formes asymétriques associant des savoirs ( lignes) avec des cycles de conscience )

.les AVOIR, cycles, les matrices, qui exprime les conteneurs où une mutation peut se faire

( se sont les CONSCIENCES à découvrir ( ce qui définit quelque chose par ce qu'il n'est pas, son milieu, les ÆMES étant le destin d'une continuité de conscience),

   Ces 4 classes peuvent se transcender dans les dimensions supérieure par exemple une ligne de cycle ( un savoir d'avoir );

 

Un ALPHABET ANGELIQUE qui crée par lui même les concepts du langage qui l'utilise:

Ce n'est pas un simple moyen d'écriture, car chaque lettre schème porte avec elle ses structures signifiantes auxquels l'interprétation doit se conformer et d'où un dictionnaire intuitif commence à surgir de l'alphabet lui même.

Dans le langage angélique l'alphabet est indissociablement uni à sa grammaire, sa syntaxe et son dictionnaire qui en sont les expressions abstraites.

L' alphabet du langage angélique formel sera donc l'alphabet infini des formes de relation sur lequel nous pourrons abstraire des concepts qui les transcende ( entités et esprits );

Et surtout il est beau comme la coïncidence:

Tout y semble coïncidence et clarté, la coïncidence n'est bien sûr pas une preuve mais le monde ne trouvant son origine semantique que dans la relation, la coïncidence en est l'expression la plus proche;

La COÏNCIDENCE est aussi le miracle, ce qui est sans cause diabolique ( de calcul  );

 

    Peut être que rien n'existe vraiment pourtant la relation fait coïncidence et c'est par elle que tout semble exister sans preuve, donc sans faute, sans crime, sans tuer l'un pour affirmer l'autre, ce qui nous rappelle L'AMOUR spirituel qui reçoit tout en son coeur et ne juge jamais;

     Le jugement n'appartient qu'à celui qui s'y soumet par la croyance en une interprétation qui n'est que relative, le mal n'étant que l'illusion de sa croyance qui n'y croit plus voit l'amour qu'il cachait dans l'inconscience;

Qu'est ce que l'amour? N'est ce pas comprendre le processus de chaque devenir et s'y conformer en confiance?

 

    Ce qui est beau est toujours aimé, et si on le hait c'est parce par déni on l'aime trop, la beauté de l'esprit n'a pas besoin de preuve, ni de cause, elle s'offre à tous en son innocence à qui sait la recevoir en sa conscience;

   Comprendre vraiment le monde c'est entrer en sa communion, s'unir avec sa vie, ce n'est pas le disséquer cruellement pour en extraire un savoir méchant et diabolique qui servira à manipuler et soumettre le monde en sa faveur sans laisser de place au miracle de l'authenticité et des coïncidences créatrice de conscience et de clarté et de liberté;

    Il n'y a pas de compréhension sans amour, sans la foi dans le devenir naturellement bon des existences, la compréhension sans amour n'est qu'une intelligence artificielle qui malheureusement n'est pas seulement celle des robots parce qu'elle est inscrite dans la vie elle même, dans son vécu d'inconscience ( toute inconscience implique un comportement artificiel ).

    Artificiel veut dire savoir user et utiliser sans comprendre et sans conscience de l'unité mystérieuse d'où toute existence tire son apparence, c'est forcer à être ce qu'on n'est pas; 

    Le naturel est ce qui vient naturellement depuis l'être de chacun, ce qui exprime l'authenticité et la transparence, ce qu'on laisse devenir pour qu'il trouve sa voie dans la conscience.