La sculpture poétique du langage

 images numériques en relation avec une tentative de représentation d'un alphabet angélique.

 


classement par arbre des voies:

 

Classement par famille et analogie:

 


lettre angélique et corps angélique:

 

yi king:

 



sons articulés:

 

 

2-ALPHABET ANGELIQUE:

2_Les « particules ou éléments » qui le compose. Le paradoxe du nombre et la lettre.

 

L'impuissance du nombre, beaucoup est bien peu de chose.

Nous cherchons quelque chose qui ne soit pas spatio-temporel, qui soit universel, abstrait, le moins représentable possible, éternel et immatériel.

Nous connaissons déjà les nombres vérifiant ces qualités mais nous sommes bien conscient que la quantité ne pourra jamais exprimer l'idée existentielle d'identité ( et sa qualité associée), à la base de toute construction créative parce que la quantité a perdu justement tout concept identitaire afin de pouvoir être partagé entre tous et servir ainsi au commerce de toute communication, toute valeur propre se perd dans le nombre, il a ce pouvoir de tout corrompre parce qu'il réduit tout à une échelle de valeur unique pour tous, (à une même échelle subjective imposée une fois pour toute).

  Pour pouvoir construire quelque chose le nombre doit pouvoir être partagé, ne pas sombrer en son infini, son trou noir sémantique où se perde toute valeur, mais ce partage du nombre ne peut pas se faire par le nombre lui-même, il a besoin pour cela d'un vis à vis, de quelque chose qui lui échappe, qui lui soit incompatible et complémentaire tout à la fois, qui l'empêche de se fusionner en cet infini où paradoxalement il n'y a plus rien, parce que l'infini et le rien sont de fait indiscernable, c'est le choix subjectif d'un sens de devenir qui déterminera qui est origine et qui est final.

  Le nombre est fusion pure, il est toujours unité même dans le multiple, s'il y a 2 nombres c'est qu'il y a quelque chose de plus que le nombre, une structure qui leurs interdit de fusionner en une seule unité.

  Tout est nombre autour de nous, parce que tout se montre par la communication afin d'exister et que le nombre est ce vecteur universel de ce qui peut se communiquer, pourtant s'il y a nécessité d'une communication permanente c'est bien parce qu'il y a un incommunicable qui échappe au nombre et à sa mesure, c'est cette incompatibilité entre ce visible (nombre, énergie, lumière) et cet invisible (qualité, structure, relation interne), cet occulte présence qui fait que quelque chose existe plutôt que rien et les 2 entités sont nécessaire à cette œuvre de création, c'est pourquoi en plus du nombre est la lettre angélique, et son alphabet.

  La lettre, introuvable et pourtant source de toute abondance.

Ainsi cette lettre a des valeurs numériques parce qu'elle communique pour exister mais ces valeurs ne peuvent jamais la représenter en absolu, de plus elles sont multiples et varient en fonction du contexte, tout comme une particule est connu au travers de ces interactions énergétiques mais reste à jamais invisible.

  Ces lettres, ces Entités qualitatives se doivent d'être comme les nombres mais pourtant leur échapper afin de servir de base concrète à l'activité de l'esprit.

  Elles expriment ainsi la qualité des choses d'où procède toute existence identitaire et non pas la seule mesure de ses actes de pensée .

(Le nombre est la matière du jugement, de ce qui est passé et peut donc être reconnu et ainsi être origine à la fois de conscience tout autant que son illusion associée insécable; Il n'est donc pas créateur et acteur du réel puisqu'il vient toujours après coup quand tout est déjà fait et offert à la liberté relative de l'interprétation créative qui fera de ce réel une réalité réalisée.

  On peut donc considérer que la lettre "angélique" est l'os occulte de toute réalité sémantique observable, un os impossible à révéler avec certitude tout comme il est impossible d'être certain de connaître une forme géométrique à partir de ses projections dans des dimensions inférieures (théorème de mathématique), la lettre angélique reste à jamais incertaine, "irréalisable" par l'esprit parce que la conscience tend vers l'unité afin d'exister et que cette unité implique de tout réduire à des linéarités définissable, ce qui l'oblige à représenter toute chose à partir de ses seules projections et simplifications sémantiques).

 

  C'est pour cela que l'on propose d'utiliser pour alphabet les Entités Relationnelles, les ER, (en math on nomme les ER concrètes graphe isomorphe) qui sont construite à partir de articulation/point(angle/nœuds) et des relations qui s'établissent entre elles.

  Par exemple avec 3 points on peut former un triangle ou un v ( 𐌡ߡ ) dans tout type d'orientation possible, les descriptions de ces 2 ER sont des descriptions interprétées du point de vue géométrique mais les ER associés transcendent ce point de vue.

  De même il faut comprendre que la représentation spatiale que l'on s'en fait est à ce niveau sans importance, N=Z= ϟ mais ne sera jamais =F, parce qu'il n'ont pas en commun la même structure relationnelle.

  On comprend aussi le mécanisme qui fait qu'à chaque fois que l'on propose une description, on introduit une erreur dont il est primordial de rester conscient, les ER ne sont pas des figures géométriques, ni dans une moindre mesure topologique, dans le même ordre d'idée ces ER ne sont pas non plus le véritable alphabet angélique s'il en est un, ils sont déjà une interprétation de sa présence mystérieuse, un choix conscient, une hypothèse existentielle créatrice d'une pensée de l'esprit..

  On comprend aussi pourquoi cette approche est riche, créatrice, éternelle, universelle, immatérielle et cohérente, parce que tout comme les nombres, les ER se retrouverons en toute chose à partir du moment où l'on tente de penser une création, parce qu'ils traduisent une intuition fondamentale de relation, d'interdépendance, d'identité et de structure qualitative, c'est pourquoi le choix des ER pour représenter l'alphabet angélique et le choix des nombres pour représenter les quantités angélique ( nombre et quantité ne sont pas exactement semblable, le nombre étant une quantité mesuré relativement à une échelle de mesure commune) se retrouverons partout comme une signature divine ( nombre et quantité ne sont pas exactement semblable, le nombre étant une quantité mesuré relativement à une échelle de mesure commune);

  Ensemble ils expriment ce monde abstrait et immatériel qui préexiste à toute création, cet A-monde où vivent nos Anges créateurs permanent de notre monde matériel, parce que il ne faut pas comprendre le monde comme ayant été créé, ou qui sera créé, le monde est toujours créé au présent, le comprendre au passé c'est cela qui est vraiment absurde, ainsi les 6 jours de la création sont toujours maintenant, il n'ont pas été ni même auront été ou seront « été » créé...

Les nombres ont leur propre système de calcul et de logique que nous connaissons bien, de même les ER ont leur propre système dont une des qualités primordiale bien gênante, est la propriété d'imbrication les rendant impropre à toute tentative de mesure de l'autre, parce que cela ne permet pas de conserver la relation d'ordre qui défini la quantité.

 

 

_Le concept d’étape de développement ou niveau de conscience.

  Ces ER s'organisent naturellement en étape qui donne des nombres bien connu, avec 3 points on a jusqu'à 3 relations avec 12 ER absolues, (2)3 ER concrètes et 4(5) ER complètes, 4-6-27//(7)10-11(12), 5-10-56//(22)33-35(36), 6-15-?//(91)155-156 etc...

Par exemple le niveau 3 (noté $3) de l'alphabet représente toutes les entités relationnelles que l'on peut former avec 3 articulations/points/nœuds ; Suivant la façons dont on les comptes, on peut en dénombrer 2, 3, 4 …..ou 12 mais il y a concrètement seulement 3 graphes isomorphe à ce niveau ( .| 𐌡ߡ ).

 

-L'aura des ER.

Ce qui différencie le concept d'ER des graphes isomorphes ou des structures topologiques discrètes pour les nommer précisément en terme mathématique (les ER concrètes en LA), c'est que pour bien les comprendre il faut les considérer aussi autrement que d'un point de vue particulier, c'est à dire en relation avec les autres, ainsi leur description impliquera de faire appel à des concepts qui leurs échappent et les transcendent, interdisant du même coup toute tentative de les interpréter littéralement ou de les prendre pour ce qu'ils ne sont pas ; C'est la porte ouverte sur leur ailleurs dont nous avions prit soin d'en rappeler l'importance.

  Il est important de ne pas en rester à leurs simples existences concrètes mais de prendre en compte aussi leurs extensions invisibles qui les forment depuis la structure même de leur famille ou catégorie ; C'est pourquoi dans cette première description de l'alphabet Angélique je dénombre toute les possibilités même celle qui n'ont aucune réalité en tant qu' ER.

  Cette première considération nous obligera à les concevoir sous différents point de vue (imaginaire, abstrait-symbolique, virtuel, irréel et concret-réel), de la même manière qu'en hébreu il y a les lettres premières et intérieures et les finales ou en arabe les signes diacritiques qui permettent de différencier des signes semblables.

  Ceci nous permettra d'approcher l'idée que toute chose n'est pas simplement chose mais est aussi son âme perdu en tout ce qu'elle ne semble pas être, c'est dans une moindre mesure son aura, son ambiguïté existentielle fondamentale.

  Par exemple peut on réduire un électron à son seul phénomène corpusculaire observable? Dans les faits sémantique cet électron existe avec une partie visible ou observable et parfois localisable mais son existence véritable absolue implique de le considérer comme un fait imbriqué dans tout l'univers d'où il procède et prend racine et cela reste à jamais inconnaissable et c'est cela que je nomme "âme" lorsqu'on le considère d'un point de vue sémantique ou "aura" d'un point de vue énergétique.

 

-Description et classification des ER

 

Note au sujet de l'interprétation sémantique que je vais tenter de donner aux ER:

 

(Cette partie du texte est confuse et mal expliqué, je l'ai quand même publiée en attendant de faire mieux)

 

  On dispose avec eux d'une base universelle à partir de laquelle nous allons tenter de construire une histoire et un champ sémantique de concept se fondant et s’appuyant les uns sur les autre parce que rien ne surgit jamais seul.

  Comme vous le verrez par la suite ces interprétations seront toujours ambigu, contradictoire ou paradoxale pour la simple raison qu'il ne servirait à rien de construire encore un langage basé sur une révélation arrêté, cela fermerai la porte de l'esprit en nous, il ne servirai à rien de tenter de comprendre les lettres angélique dans la simple cohérence de ce qu'elles montrent d'elles mêmes mais bien plutôt dans la dynamique d'une structure ambigu qui ne cesse de bouger et de nous échapper afin de nous mener vers cette éternité qui échappe au temps.

  Ce qu'il faut comprendre ce n'est pas ce qu'elles sont mais ce qu'elles deviennent en permanence en toute chose, insufflant la vie toujours et partout.

  C'est toujours ce que l'on ne peut pas comprendre qui détient la clef de ce qui est vraiment comme si l'incompréhensibilité de quelque chose appelait en retour à la création de quelque chose de compréhensible.

  Chaque incompréhension étant la racine d'une petite histoire mythique atemporelle susceptible d'exister à tout moment parce que l’ambiguïté sémantique fonctionne comme un piège aux pensés de l'esprit dont il est impossible de sortir par la logique et la compréhension triviale mais seulement par la transcendance.

 

$0

Le niveau zéro pourrait en théorie contenir les 3 concepts qui manque au premier niveau afin d'obtenir les 6 champs sémantiques de toutes choses, (les 6 jours ou monde de toute chose), pourtant ces 3 champs sont déjà contenu dans les 3 ER du niveau $1, de plus on pourrait croire qu'il nous faut 6 signes pour les designer alors qu'en fait il n'y en a que 2.

En fait le niveau zéro ne contient rien, je ne propose donc pas de représentation sous forme d'ER.

  Les concepts présentés sont purement abstrait et imaginaire, induit par le fait de construction lui même, ils servent pour classifier, et définir des propriétés particulières.

Voici le plan des 6 champs sémantiques ou 3 polarités :

Note: les symboles du clavier choisi pour représenter ces signes abstrait sont entouré de _ _ pour les isoler du contexte

 

 

_ↁ_ la source du concret.

Ce qui se construit, s'invente, le mensonge, la finitude intérieure appel l'invention du monde pour rejoindre son infini.

Le monde que l'on se partage, ce qui est dérivé de ce qui est déjà, l'inertie sémantique, la tentation inévitable, la combinatoire, qui a 2 pôles :

 

_() _ ou  _ↂ_ ou _𝄋_

1er pôle.  voici les 10 premiers( |𐌡ߡ 𐌝O ϴ .) .

concret, réel/illusion, matériel, le signifiant (pas besoin de signes pour le désigner, il n'est que ce qu'il montre de lui même) ce sont tout les graphes isomorphes que l'on peut construire avec autant d'articulation et de relations que l'on veut.

On le considère comme concret parce qu'il est son propre contexte relationnel.

 

_°=_ ou _|°|_

2em pôle. ( °= °|V )

  La famille des ER de tout ce qui est conçu par un principe de construction donc contraint à être suivant ces principes de construction et donc source d'illusion possible.

Imaginaire, rêve, désir, projection (on utilise le signe du cercle vide pour les désigner parce qu'on ne peut pas les confondre avec ceux qui proviennent de l’interprétation irréelle ou virtuelle des ER, en effet ils sont tout ce qui peut se construire par composition et sans imbrication à partir du niveau antérieur d'un niveau donné, par exemple au $3 le niveau antérieur est le $2 qui ne contient concrètement que la relation simple entre 2 extrémités, on peut donc construire 2 relations séparées comme dans le signe égal, comme il contient 4 extrémités points, il est en dehors du niveau $3 mais lui appartient de façons imaginaire, on le notera °= ou alors |°|

 

_𝅘_

L'abstrait C'est avant tout l'origine, l'articulation absolu, le référentiel subjectif.

  L'absence intérieure de ce qui est extérieur appel l'abstraction du monde afin de le réincorporer, d'ailleurs le mot abstraction exprime bien cette idée, ce que l'on a abstrait de nous même pour exister revient en nous sous forme d'abstraction, c'est une sorte de fantôme, l'âme elle-même est une sorte d'abstraction.

 Ce qui est abstrait c'est le fait de considérer une ER concrète immergé dans un niveau de conscience particulier en faisant apparaître sous forme de points supplémentaires son entourage invisible pour montrer qu'il existe désormais par ce contexte ;

  Ainsi son signifié transformé par son contexte devient une facette abstraite de ce qu'il peut être, cette abstraction angélique fonctionne à l'envers de l'abstraction existentielle qui tente d'élaborer un concept à partir d'un ensemble de phénomène immergé dans des contextes distincts.

(Ses 2 pôles n'ont pas besoin de signe particulier puisque ils sont formés à partir d'une ER concrète accompagnées d'un certains nombres de points pour signifier qu'elle appartient à un niveau de conscience bien défini)

 

_𝅘:_ 1er pôle, ( : :| :𐌡 :ߡ := :Z)

le symbolique, le signifié, ce que l'on désigne et montre, paradoxalement ce que l'on montre est toujours abstrait, imaginaire, c'est comment on le montre qui est concret.

Notre vécu ou réalité littérale est uniquement faite de ce qui se montre par le signifiant, pourtant c'est ce même signifiant qui fait vivre l'illusion d'une représentation en fausse réalité.

C'est une ER avec au moins 2 points supplémentaires donc venant de l'étape pré-antérieure à toute matérialité.

 

_𝅘._ 2em pôle, ( . .| .𐌡 .ߡ .= .Z ) qui est en $1

le nombre, qui est issue de l'étape antérieure directe d'un niveau de conscience, c'est un peu ce en quoi baigne nécessairement le fœtus évolutif de toute chose, parce que toute chose concrète ne peut jamais perdre son état de fœtus même en naissant sans quoi elle ne pourrait pas devenir donc être présente à la temporalité qui la fait exister ainsi sans les champs de forces et de lumière baignant l'univers rien ne pourrait exister.

  C'est pourquoi le nombre peut être considéré indifféremment suivant le point de vue abstrait contextuel par lequel on le connaît, comme masse, champ de force, lumière, énergie, eau, sève, sang ou aliment/argent et contrat social, ça sera toujours le même concept à l’œuvre nous présentant ses différentes facettes suivant le choix de sa mesure et du jugement qu'il promet donc aussi ce qui met au monde une intimité.

  Le nombre est toujours une sorte d'abstraction concrète des choses les réduisant à une simple mesure qui n'a de sens qu'en tant que proportion partagée par une unité de base commune(le langage et la logique subjective qui permet de lui donner sens), l'absence d'unité les ramenant au concept de simple quantité.

  C'est le nombre et la subjectivité initiale de sa mesure qui permet à toute chose de devenir apparence aux autres, c'est en ce sens qu'il faut comprendre le nombre comme une sorte d'abstraction de toute réalité secrète.

 

_°_

L'illusion, l'ombre, le mirage: La faillite de la complémentarité implique la nécessité de croire en une illusion.

Il y a des choses qui par le seul fait d'exister projette une sorte de mirage parce leur propriété de complémentarité ne peut pas se satisfaire concrètement, c'est pourquoi on est obligé de leur associer une image complémentaire, par exemple le signifié de toute réalité mystérieuse ne pouvant se représenter fait exister un signifiant-illusion afin de se désigner, de même tout ombre peut être considéré comme le complémentaire visible de ce qui refuse de se montrer à cause de son opacité.

 

_°T_

L'irréel. ( °V °T ) qui est en $1

Tout ER ayant une complémentaire, si ce complémentaire se trouve hors du niveau de conscience on dira qu'il est irréel, car il existe bien mais n'est pas accessible.( il n'y a qu'une possibilité par niveau, qui est toujours un centre ou référentiel, un point entouré de relation libre, le même signe diacritique du cercle permettra de le différencier des autres)

 

_°Z_

Le virtuel. ( °Z °A °(pentagone)⬠) qui n'est pas en $1

  Certains ER, très rare, (je n'en connais que 3) sont leur propre complémentaire, on prendra alors leur double virtuel comme une possibilité existentielle, par construction il ne pourront jamais être un centre irréel ou une composition imaginaire, on pourra donc les différencier avec le même signe du cercle que les autres.

  Voici pourquoi nous n'avons besoin que de 2 signes diacritiques dont seulement un en est vraiment un, c'est à dire le ° car l'autre le point « . » fait déjà partie intégrante de la construction, il ne fait que leurs ajouter une intensité énergétique qui permettra par exemple qu'une rencontre engendre une composition et non pas une fusion imbrication.

 

 

 

$1

Le premier niveau est celui de l'articulation pure sans aucune relation autre que celle à elle-même, il est constitué de 3 entités particulières qui ne sont pas vraiment des ER, ce sont des à priori originel dont il est impossible de se défaire, qui sont inclassable ni même vraiment nommable et dénombrable en tant que tout, j'ai dit qu'il y en avait 3 mais ce 3 n'est pas vraiment un nombre et il est plutôt un 6 comme nous le « verrons en $0 » note : la contradiction est voulu.

Les voici ( ° . °| ) tel que je tente de les représenter avec un clavier.

 

_°._ le néant, les ténèbres, le chaos, qui servira par la suite à définir les E.R qui n'ont qu'une existence imaginaire, virtuelle ou irréelle, il est source de toute transcendance.

La meilleur représentation serait de ne pas le représenter mais comme ce qui n'est pas l'est toujours qu'au travers de ce qui est nous sommes bien obligé de faire l'erreur volontaire et consciente de le représenter.

Cet ER se montre sous la forme de la polarité du mensonge, la complémentarité matériel/concret, mensonge/imaginaire.

 

_._  ou _⨀_

Quelque chose à l'origine, la foi de tout verbe, le don de liberté ou le châtiment de l'exil, c'est la même chose tout dépend comment on le vit et comment on le comprend.

(ce qui fait que le vide alentour devienne conscient), la source inconnaissable par où s'engouffre les mondes( donc vide, c'est une ouverture qui paradoxalement est pleine, le vide du monde ne sort pas d'un trou mais autour de ce mur minuscule, de cette infime faute ou tâche qui parce qu'elle est seule paraît énorme et appel la multiplication spatio-temporelle pour s'y relativiser, perdre la honte de son unicité indécente).

C'est l'articulation originelle (le concept d'articulation implique celui de liberté, donc désordre, indéfinissable car dans ce cas elle n'a à subir aucune contrainte relationnelle), le point (la relation mystérieuse de l'esprit à lui-même, pierre angulaire du phénomène de l'esprit par où tout se construit en son mensonge, le songe qui est sien et pas tien, comme mon-songe).

On l'utilisera pour représenter le rien, le zéro, le vide autour du point, l'absence de quelque chose. Il n'est pas premier, le premier commence, le rien ne commence rien, c'est le néant qui se représente en quelque chose, il est ce « rien » hors de tout pour que soit le rien où tout aura sa place, et qui par conséquent fait don de son imaginaire créateur.

C'est aussi à partir de cette E.R que se développe le concept de quantité puis de nombre mais aussi d'énergie et d'espace (parce que rien ne pouvant rien contenir, il s’exclut hors de lui même éternellement permettant l'expansion des choses imaginaires que sa présente-absence évoque, c'est pourquoi on l'utilisera pour indiquer qu'une E.R est a interpréter sous forme symbolique numérique ou énergétique et communicationnelle.

De même lorsque qu'il sera accompagné de plusieurs points, la quantité désigné deviendra ambigu, dans ce cas l'ER représenté désignera une qualité relationnelle, une lettre angélique considéré d'un point de vue absolu en tant que concept pur, non apte pour une utilisation conceptuelle à l'intérieur d'un langage constructeur.

Ils seront donc à l'origine de l'interprétation incompatible quantitative et qualitative des ER, le point ou les points servant de signes distinctifs.

 

_°|_

Le complémentaire irréel et illusoire de ce quelque chose, sa transcendance toujours possible dans un ailleurs inconcevable, comme il n'existe pas vraiment à ce niveau on l'accompagne du signe du néant.

  Toute chose cherche son amour perdu et sa fin, ne le trouvant pas dans l'exil du monde il souffre d'un manque insatiable et de sa souffrance surgissent des déformations créatrices d'irréalités et d'illusions qui sont les signes de sa folie, ils se perd en sa propre démesure, plus il cherche et plus il s'active et plus le monde qui l'entoure devient mouvant et trompeur, perdu au sein de ses propres ombres il fini par ne plus savoir se reconnaître, se blessant lui-même sans s'en rendre compte, il s'ampute de son intégrité se vouant ainsi à une mort certaine qui est toujours à recommencer.

  Plus on s'active et plus le monde devient mouvant et plus ce qu'on cherche se perd en son illusion.

 

  Ces ER présentent 2 visages inséparables, ange ou démon, Dieu ou Diable et ils sont très rare parce qu'il faut les considérer comme des maîtres mondes qui n'ont pas besoins d'être nombreux.

  Le Dieu/Diable est bien sûr le guide ou le gardien unique d'un niveau de conscience, c'est l'ER de l'irréalité, il y en a toujours un seul par niveau de conscience, c'est lui qui fonde une irréalité, c'est à dire une matérialité représentative de sa réalité sémantique.

  Les Anges et les Démons sont les alliés ou les adversités d'un niveau de consciences, les niveaux $4 des sources éblouissantes et $5 des ombres ont respectivement seulement 1 (la divinité androgyne) et 2 ER auto-complémentaires (le père et la mère), par contre les niveau $6 des fœtus précurseurs des événements et $7 des histoires mythiques de toute irréalité sont dépourvu de tout ER illusion, il faut comprendre ce fait en tant que liberté promise, possibilité d'orienter son destin sans pour autant le changer parce que l'illusion repose alors entièrement en lui même, c'est lui qui pourra décider à chaque fois que cela deviendra possible, de changer sa façons de percevoir ce qui lui arrive, bien sûr cela ne lui permettra pas de faire de grande chose dans l'immédiat mais la répétition de ce changement de perception permettra peu à peu d'incurver le fil de son destin.

  Les ER illusion réapparaissent aux niveaux $8 des morts et des âmes de ce qui juge et $9 des Dieux et humanités du châtiment de recommencement, le sens qui pourrait être donné est celui du jugement qui s'effectue dans l’état d'âme de la mort parce que le contrôle de l'illusion est reprise par les guides de l'univers, l'âme perd ainsi toute possibilité de changer son destin et doit obéir aux lois qui le gouverne l'obligeant à renaître pour se parfaire.

  Au niveau $10 et $11 l'illusion disparaît à nouveau indiquant l'idée du grand pardon final.

L'irréalité des mondes ne peut jamais être changé, c'est le royaume du Dieu et du Diable, un fait reste un fait fondation implacable des mondes par contre dans certaines étapes du mouvement des âmes, (les étapes d'apparence vivante foetus(6) et histoire(7)), la façons d'interpréter ces faits inéluctables, est laissé à notre libre arbitre parce que les clefs de l'illusion sont remise pour un temps de vie à chacun, je comprend libre arbitre comme les degrés de liberté que nous avons atteint, notre capacité à transcender les prisons de nos logiques personnelles ou communes.

  Il est évident que ces degrés ne sont pas les mêmes pour une particule, une variable ou inconnu d'une équation ou pour un être vivant, pourtant ils existent toujours à cause du mouvement perpétuel conséquence de l’ambiguïté originelle des racines sémantiques de tout monde.

 

 

 

  Le pouvoir d'interprétation: C'est un minuscule pouvoir parce qu'il est impuissant face à l'irréalité du monde, par contre il agit sur le signifié immatériel de tout acte et en ce sens est capable de toute chose parce que ce signifié est à la racine de toute chose, sinon les chose n'aurait aucune raison d'être si rien ne pouvait être changé.

 

 

 

 

$2

Le deuxième niveau est lui aussi constitué de 3 erreurs dont un premier vraiment concret, ces 3 perceptions sont ceux de l'accident ou erreur initiale sans quoi rien ne surgirai du vide, les 3 incompatibilités fondamentales (paradoxe, absurde, ambiguïté).

Les voici : | °V

 

_:_

La quantité originelle, deux rien s'excluant l'un l'autre, le paradoxe de toute existence qui croyant exister en soi, n'existe que parce qu'elle est hors de soi.

C'est le paradoxe de l'identité et de son âme, l’interdépendance de toute chose et leurs irrévocables communication par leur jauge ou mesure mutuelle, la quantification relationnelle précurseur de toute rencontre et communication créatrice d'un destin.

 

_|_

La première E.R véritable qui combone 2 articulations (extrémités finis) et une relation.

  La relation première, l'un qui ne peut être que par l'exclusion d'un autre et puis son vécu en retour en tant que complémentaire/adversaire (il a une mission de retour vers ce qu'il a exclu pour exister d'où le surgissement du sens qui illumine l'esprit jusqu'alors vide de toute pensée), l'absurde étant bien sûr le premier sens a donner à cette origine de toutes les voies ou sens.

 C'est le canal de toute communication, source de toute unité à chercher en conséquence dans la transcendance du soi et jamais en soi(voie de la multiplicité), l'unité et sa vrai pureté n'est que dans l'ouverture, la fermeture purificatrice n'étant que l'identification absurde à son impureté existentielle.

 Elle est l'origine de toutes les E.R et aussi de toute pensée de l'esprit, cette pensée se symbolise par la qualité relationnelle.

La première et la deuxième sont mutuellement incompatible en totalité, ouvrant la voie au mouvement perpétuel de l'esprit tentant de faire coïncider son intérieur avec son extérieur, son rêve avec sa réalité.

On peut la concevoir comme le feu immatériel de tout esprit.

 

_°V_

 Le complémentaire abstrait de cette relation originelle.

C'est bien sûr cet esprit en pensée, l'imaginaire en action, l’ambiguïté faisant le lien entre le paradoxe et l'absurde et appelant en soi la subjectivité de toute pensée-création, l'esprit s'incarne dans son aura, son flou de pensée, son ambiguïté libératrice, lui donnant le bénéfice du doute et lui permettant de durer et donc d'initier l'espace-temps de sa création pour le temps de son mensonge.

C'est l'imaginaire qui se glisse en toute relation qui fait qu'elle devient créatrice de l'inimaginable, sortie comme un démon du choc de 2 imaginaires, ce qui fait que rien n'est jamais tel qu'on le prévoyait ou pensait, c'est le miracle permanent du monde.

 

 

 

 

$3 Le troisième niveau est constitué de 6 principes dont les 3 concrets sont des limites permettant à toute chose de se définir et de se repérer. C'est le plan de conscience des bases.

 

_.|_ Le nombre 1, l'unité, la mesure de toute relation. Le quantum d'action, la limite de perception.

 

_V_ Le centre, l'intermédiaire, mais aussi de manière ambigu, ce qui sépare tout en unissant, la ligne, le chemin, la lumière et la limite de communication(vitesse de la lumière)

 

_ߡ_ La première fermeture sur soit qui permet la conscience et aussi la conception d'un destin, un fils intérieur, ces l'expression concrète de l'idée de retour pour se retrouver mais sur un plan littéral et sans transcendance :

Cette fermeture ne contient rien car son complémentaire est dans dans le niveau supérieur °T de 4 articulation disponible.

Le concept reste immature, formé mais invisible parce qu'il n'a rien pour se construire une apparence, se montrer.

C'est une sorte d'infertilité du a une trop grande perfection, seul se développe une pensée sans se risquer dans son expérimentation fécondante.

Le frein nécessaire pour que soit la duré, la limite de transformation.

Cette perfection peut se symboliser par cette relation étonnante où ER et nombre ne sont pas encore vraiment différencié.

En effet 1+2=3 et |+V= ߡ car V est bien le complémentaire de | .

 

_°T_ le centre irréel de cette fermeture, le fait que ce centre lui échappe fait qu'il doit toujours se trouver, le met en déséquilibre permanent, ne dit-on pas que les triades sont dangereuses, de façons ambigu ce trois nous rappelle que toute stabilité exagéré est fragile et donc instable, car la seul stabilité véritable est celle qui admet l'instabilité, trois étant trop parfait pour prétendre durer.

 

_°|V_la complétude parfaite imaginaire, le désir initial et donc le manque, le puits sans fond de ce qui ne peut jamais se combler et exprime donc la vie qui ne peut se finir.

 

_°|ߡ_ La similarité imaginaire, deux joyaux réuni sur un même niveau de conscience alors qu'il ne peut y en avoir qu'un par niveau. Développe l'idée de famille, de groupe rêvé et idéal, il y a aussi l'idée de croissance, de solidarité.

D'un autre point de vue contradictoire on peut voir l'impossible rencontre de ce qui trop se ressemble, ce qui doit toujours se perdre parce qu'il devient exclu la similarité trop proche de ce qu'il était, c'est ce que l'on jette dans le puits du désir et exprime donc indirectement la mort, ce reste qui doit toujours disparaître.

 

 

 

 

 

$4 Le quatrième niveau......

 

 

 

ʘϾΞϟ ϴ Θ𐌞𐌏𐌡𐌈 𐌝 ߜ ߡ ⵇ ⴵⴵ

|𐌡ߡ 𐌝 ϴ

 

ߜ

ߡ

 

.|

V

ߜ(triangle)

.|.

:.

o||

 

 

 

3-LES RACINES ANGÉLIQUE et sa grammaire sémiologique.

 

  Comment former des mots, des racines sémantiques, des atomes signifiant une présence à partir de l a signification transcendantale des signes, lettres ou particules originel ?

   C'est là qu'est toute le difficulté, il s'agit de fonder un système de genèse sémantique cohérent et fertile, qui permette de faire du calcul sémantique facilement.

  Qu'est ce que le calcul sémantique ? Ce n'est pas de la logique formelle du type règle si...alors... aussi sophistiqué soit-elle, parce la logique sémantique part de 2 principes.

 

1. la multiplicité des buts ainsi que leurs ambiguïtés.

 

2. l’inclusion de la contradiction et non pas sont exclusion.

 

3. l'imbrication superposable des concepts.

 

  On ne cherche pas à démontrer que ceci est vrai mais plutôt de montrer que vue ainsi c'est structuré ainsi et que cela achoppe sur des incohérences, des ambiguïtés ou des contradictions que l'on ne cherche pas forcément à résoudre , elles sont comme une fenêtre ouverte sur un ailleurs inconnu.

  Par exemple on voudrait pouvoir faire quelque chose comme cela,

En ce monde on ne connaît les choses qu'au travers de leur interprétation (=qui n'est jamais une vérité mais sa copie ou mise en forme temporaire), la vérité ou formalisation absolue de ce monde ne peut donc pas exister en tant que connaissance, puisqu'elle procède toujours d'une interprétation de quelque chose, la vérité réside dans la réalité qui doit donc être à jamais inaccessible et pour cela être à l'origine de toute interprétation (=ce qui est origine ne peut pas se dévoiler, elle n'est connu qu'au travers de ses conséquences, ce monde interprété pour pouvoir exister).

 

 Dieu n'existe pas! pourtant s'il est une variable originelle et nécessaire à toute mise en logique et représentation de quoique ce soit c'est bien la "variable de Dieu" ou de tout ce qui lui est apparenté par ses propriétés paradoxales(son ange), ambigu(son démon) et absurde(sa créature) sous forme d'infini, d'impossible, d'illimité.

  Aucune logique ne peut vraiment se construire et prétendre dépasser sa subjectivité intrinsèque qui façonne sa perception et par conséquent sa réalité, si elle ne réserve pas en son sein une place pour ce qui la dépasse, et est dans son au delà.

  C'est tout le paradoxe divin, Dieu n’existe pas pour que nous puissions exister et donc être limité et pourtant il existe dans notre imaginaire pour que nous puissions survivre à notre propre illusion.

  Les propriétés de cette variable centrale de tout système logique qui prétend à une universalité et éternité et donc aussi à tout langage qui se voudrait "angélique" sont celles de l'ailleurs, de l'imprévisible et de sa liberté promise, de ce qui est indestructible parce qu'il est inhérent au fait d'exister et de durer (survivre à sa mort par stabilité absolue en évoluant vers notre "ailleurs" (destin).

  C'est pourquoi comme toujours lorsqu'on désigne quelque chose, on ne peut que le décrire par ses propriétés et donc la variable "Dieu" peut aussi être comprise comme "hasard, voie ou tao, créateur, énergie, infini ou néant, faille logique etc..." l'utilisation de tout ces concepts ne font en fait que renvoyer à cette nécessité intrinsèque de tout langage et de toute logique qui veut que tout ce qui prétend se reconnaître, se ferme sur lui même et se doit de ménager une fenêtre vers ce qu'il a exclu de lui même pour se reconnaître, sans quoi il sombre dans l'illusion de sa propre création!

  c'est bien lui qui a créer le monde mais cette créativité lui était prêté par quelque chose qui le dépasse et l'oblige à s'ouvrir sur l'impensable qu'il avait temporairement oublié pour créer!

  

 

 

  On dévoile ainsi une structure fortement ambigu et contradictoire, ne cherche-t-on pas quelque chose d'introuvable ? Ne vit-on pas dans une sorte de rêve qui ne peut pas s'éveiller et qui nous oblige en conséquent à nous éveiller en permanence !

 

  Disons que pour la logique sémantique il n'y a rien à juger, il n'y a pas de péché, parce que tout est immensément pur parce que cette pureté n'est pas à chercher dans la vision sinon que dans son regard associé.

 

  Le LA devrait contenir dans la structure de ces atomes-mots toutes les informations capable de reconstruire et de valider une telle définition, parce que les concepts ne surgissent jamais seul, ils se forment comme toute chose en interaction avec d'autres, c'est le principe créateur de toute illusion, on fonde son existence sur un autre qui lui même fait de même et ainsi de suite, finalement rien n'existe vraiment mais à cause de la complexité combinatoire, chacun à le sentiment d'exister vraiment, le même phénomène devrait se donner avec la genèse sémantique des atomes-mots.

  Par exemple le concept-mot interprétation serait par nature constitué de lettres ne faisant référence à aucune vérité, connaître serait lié avec le fait d'interpréter et d’interagir avec quelque chose; Monde serait génétiquement dérivé de l’interprétation, en parallèle une structure complémentaire vérité, réalité, origine-source formeraient eux aussi un sous groupe sémantique, le calcul sémantique reviendrait alors à mettre en lumière les contradictions de l'oration (=ces racines plongées dans une situation grammaticale, j'utilise ce mot au lieu de phrase parce qu'il nous montre que tout usage du langage est une sorte de prière) tout autant que ses mariages et renforcement mutuel à l'origine d'un mensonge croyable.

 

La Guématrie du LA serait aussi différente, se pose déjà le problème insoluble du dénombrement et classification suivant un ordre donné des lettres de l'alphabet Angélique, d'autre part on aimerait bien aussi que les principes d'incompatibilité fondamentale entre la qualité et la quantité soient pris en compte, ainsi une lettre ou un mot aurait plusieurs expressions numérique possible car pour qu'il exprime un nombre il faudrait interagir avec lui au travers d'un autre nombre, les lettres elles mêmes à l'intérieur d'un mot se combineraient pour exprimer une autre mesure.

On a pas « lettre + lettre = nombre » mais l'expression « (lettre en relation avec lettre ) = nombre », ainsi suivant le contexte entourant les particules-lettres, elles n'exprimeraient pas les même nombres.

 

 

 

4-EVENEMENT SEMANTIQUE et grammaire du désir et des rencontres. L'ORATION, le tronc verbal et les branchages circonstanciels.

 

 

 

 

 

5-LES CHAMPS SEMANTIQUE, l'esprit des textes.

 

 

 

 Il n'y a pas de logique sans intention occulte!

 C'est la cause de la faillite de tout système logique et sa subjectivité partielle incontournable.

 

 

 

 


 

 

 

La correspondance entre

les Entités Relationnelles

et

les Sons Articulés.

 

 

 

Comme pour tout établissement d'une correspondance entre 2 structures informationnelles, il est important d'avoir conscience des principes de l'analogie créatrice tel qu'elle est défini dans le L.A. Pour ne pas interpréter la corrélation que nous allons tenter d'établir comme une preuve et aussi pour ne pas la rejeter à cause de ses failles.

Voir : « Analogie-creative »

Les SONS HARMONIQUES, les CONSONNES et les VOYELLES.

 

Le cri est le premier mot, le premier appel de détresse qui prétend nous relier à ce que nous avons perdu, il veut rétablir une connexion brisée par une naissance à soi-même, un devenir conscient, il implique le partage de l'air commun à tous, par ce vide (air) qui nous sépare, en l'inspirant et en l'expirant nous nageons vers notre bien aimé perdu, notre paradis inconscient.

Il est tout à la fois, expression de la souffrance et du manque mais aussi de l'espoir des retrouvailles, il est cri de menace agressive contre ce qui blesse ou pour ce que l'on doit s'approprier pour vivre (dévorer) et aussi cri de joie et de communion avec l'aimé, ce que l'on veut donner pour ne plus être seul, par cette dualité initiale, il engendre la respiration, la nécessité de vivre et de devenir.

Rapidement les 2 voies se différencient en lumière et ombre, en voyelles chanté et harmonique et consonnes structurantes, rebelles, identitaires et décisionnelles (juge)

Les 12 notes de musiques sont l'expression de cet espoir de communion et elles engendrent les 12 voyelles.

alors que le cri de douleur engendrera le non dit d’où s’échapperont les consonnes.

 

Les voyelles sont des sortes de canaux qui orientent le son initial, la note harmonique ou le cri d'origine dans la caisse de résonance du palais, ce sont elles qui portent le son véritable, la vérité pure et la lumière angélique qui révèle l'existence et met au monde, elles ne peuvent donc en aucun cas s'approprier le monde, lui donner une certitude non paradoxale sans perdre la connexion avec la source créatrice, elles ne peuvent pas prendre partie ni juger quoique ce soit parce qu'elles sont les messagères des critères du jugement, c'est pourquoi elles sont identifiées à l’énergie, ce qui est partagé par tous pour se faire connaître à l'autre, en conséquence on les réservera dans le L.A, pour tout ce qui concerne les relations constitutives (grammaire narrative et sémantique)

Les consonnes sont identifiables à des sources bloquées qui projettent un son déjà existant depuis le non dit d'un imprononçable, elles expriment donc une sorte de blessure qui veut se faire connaître et ne le peut pas par elle-même étant donné qu'elle est arrêté, fixe, refermé sur le sacrée d'une blessure intérieure, qui se doit de communiquer

et inscrivent dans la durée asymétrique

Les CONSONNES.

Nous allons commencer par les consonnes parce qu'elles ont une structure plus simple et accessibles que les voyelles.

 

Notation : pour des raisons pratiques nous allons tenter d'utiliser les lettres de l’alphabet latin pour représenter les lettres angéliques, lorsqu'une lettre est précédé d'une quote (') cela indique que sa prononciation est à réinterpréter, il y en a 4 :

'C=ch, comme dans chat

'X=ph, vibration des lèvres

'Q=rh/rr, dengue roulé sous le palais

'Ñ=th. Le the anglais ou t soufflé entre les dents

 

Description de la structure constitutive des sons articulés : On cherche une description en accord avec les E.R base de l'alphabet Angélique.

Constatons tout d'abord sa division en 6 familles distinctes (Ce choix est subjectif mais n'est pas pour le moins incohérent avec le ressenti, il existe sans doute d'autres classification possible, mais nous décidons créativement de faire ce choix afin d’être en accord avec les structures particulières aux E.R. (le sanskrit sépare lui aussi les consonnes en 6 familles 33 au lieu de 22 pour l’hébreu et le L.A)

 

On peut classer les consonnes en 2 grandes familles :

L'axe intérieur / extérieur.

_ Celles qui surgissent et viennent du fond, de l’intérieur, de l'intimité identitaire et sont les 3 familles des KGRH, L'Q(rr) ? Y, SZ 'C(ch) J.

_ Celles qui modulent, canalisent, comme si elles venaient de la périphérie.

La variabilité adaptative de la frontière avec le grand extérieur, l'influence de la place (âme) sur l’état (l'identité) et sont les 3 familles des PBM 'X(ph), FV ? W, TDN 'Ñ(th),

 

Dans un deuxième temps on peut constater une division en 3 familles cycliques qui expriment une certaines manière d’être à quatre, une interprétation consonantique des principes des 4 éléments sémantiques initiaux.

L'axe du devenir entre semer, rencontrer et.

 

Cette division contient aussi en soi la division en 4 éléments sémantiques constitutifs de toute existence. Semer(=concevoir), rencontrer(=naître), porter un renouveau, une corruption salvatrice (=engendrer), transmettre et se transcender(=mourir)

_celles qui explosent, affirment sans diplomatie, une conviction par la force, la loi du plus fort, et donc sont créatrice d'une exclusion constitutive d'une identité et implique donc une révélation, une vérité crue, sans fard, une authenticité.

P-K, F-L, T-S .

_Celles qui adoucissent une affirmation comme si elles tentaient de s'imposer avec diplomatie sans pour autant renoncer à ce qu'elles expriment, elles tentent de convaincre par la raison, et ne cherchent pas à exclure mais à inclure dans un compromis, ce qui implique aussi un certain niveau d’occultement de son intention.

B-G, V-'Q(rh), D-Z.

_Celles qui s'allongent, se déforment pour mieux englober l'autre et annonce l'acceptation d'une nécessaire participation de l'autre dans l’établissement personnelle de toute affirmation, ce qui implique une sorte de corruption créatrice, un doute existentiel qui permet l'émergence en chacun d'un devenir inconcevable qui nous continuera au delà de l’inévitable fin de toute chose.

M-R, ?- ?, N-'C(ch)

_Celles qui se mêlent déjà avec un ailleurs, les transcendantes.

'X(ph)-H, W-Y, 'Ñ(th)-J.

 

_Le principe des limites, le maître des domaines existentiels.

Le cycle 2.4..3.1..

( 2=3 sans 1) : sans unité (1) notre dualité (2.4) engendre la multiplicité répétitive imparfaite, la source d'un éternel renouveau enfant (3).

 

1 : Les 4 consonnes glottales, ce qui surgit du fond de la gorge, celle qui ouvrent l'intérieur. Le feu initial, ce qui met en mouvement.

K_G_R_H (le R est aussi comme le Jota espagnol, il s'agit de tout les r raclement de gorges, les r roulé appartiendrons à une autre famille.)

 

6(9) : En face, complémentaire, on a les 4 consonnes labiales qui ferment et font passage avec l’extérieur. Le cycle, la terre-paradis matrice qui contient.

P_B_M_'X(:ph, p soufflé comme vibration des lèvres)

 

_Le principe de ce qui est commun et par ce fait engendre la différenciation.

Le cycle 1.2.3.4. ce qui se suit (1.2.3), se continu trop fixement marche vers sa mort (4),

( 3=1 sans 2 ) ce qui se referme sur une unité expulse l'autre, sa dualité.

parce que 2,4 et 1,3 se ressemblent 2 par 2, ils créent 2 communautés qui se séparent, en s'unissant ils engendrent l'expulsion de l'autre parce ce qui les unit est nécessairement réducteur de l'autre, Ce principe est très important puisqu'il est à l'origine de toute la capacité créatrice par association, et donc du principe de faim, nécessité de l'autre à la base se tout univers, l’association implique une expulsion et un manque mais aussi une imbrication autour d'un bien commun.

 

2 : Les 4 consonnes (lengui-)dentales. Qui expriment l'idée de définir, mettre le point final, centrer, se retrouver, se repérer, s'identifier à, l'air, le ciel, l'esprit de la représentation, le sens, signifié.

T_D_N_'Ñ ( le th comme en anglais ou t soufflé entre les dents)

 

4(6) : En face, complémentaire, on a les 3 consonnes labi-dentales qui ne sont ni lengual ni dentri-dentale, qui exprime l'idée de dédoublement, génération de similitude et collectivité dans la séparation existentielle. C'est l’énergie qui unit, le trésor commun, l'eau qui nous colle l'un à l'autre.

F_V_._W ( le w n'est plus dental mais exprime une différenciation des lèvres).

 

_Le principe de la communication-relation et du retour, de la quête-devenir-destin.

Le cycle 1.4.2..3.

( 1=2 sans 3 ) : nous sommes tous uni (1.4.2) si l'on ne se referme pas sur soi-même (3)

 

3 : Les 4 consonnes sifflantes ou suintantes dentri-dentale, qui expriment l'idée d'insinuation, de pénétration insidieuse par la connaissance, donc de danger mais aussi de source d'un savoir-pouvoir sur l'autre, son appropriation.

S_Z_C(ch)_J(qui est un ch adouci non explosif)

 

5 : En face, complémentaires, on a les 3 consonnes lengui-palatales, qui expriment l'idéal, l'aspiration, l'orgasme, le désir d’être à nouveau uni, s'est la communion, la transcendance du soi qui seule reste quand la voie d'appropriation montre ses limites et son illusion, c'est la migration des principes par delà la mort.

L_'Q(R roulé sous le palais)_._'Y(LL)

 

On peut aussi supposer l'existence d'une cinquième division sans laquelle il n'y a pas de communication et de rencontre possible, c'est la dimension du silence qui permet de hacher et structurer des groupes consonantiques en un tout compréhensible, vecteur d'un signifié subjectif.