near perfect complementarity
the infinite mirror va rra 15+18=33

L'esprit du nom ou du non ? Le miroir qui cache le mystère des mondes.

2015/05/22

 

 

Spirit of no, the mirror

 

 

  Le diable, le démon n'est autre que l'esprit avec son pouvoir créateur de la réalité interprétative.

  C'est lui l'usurpateur qui s'interpose entre la conscience et la réalité source (divine).

Il a tout pouvoir parce que cette réalité originelle n'est approximable qu'au travers de l'esprit qui tente de la concevoir.

  Mais l'esprit est malin et retors car il ne peut interpréter cette réalité de l'au delà de lui même ( cette présence évanescente)  qu'au travers de ses intentions imaginaires au sujet de cette réalité.

L'intention devient alors créatrice par l'influence de l'imaginaire qui lui donne une apparence concrète.

  Par exemple le corps exprime « la faim », l'esprit (et l'imaginaire qui en est la matrice,  le esprit est fœtus de l'imaginaire) va tenter de la traduire dans le vécu concret des choses et par exemple produire le désir de manger du chocolat alors que cela n'est pas forcément ce que voulait dire le corps, peut être que le corps n'avait pas vraiment faim mais l'esprit qui est à son écoute avait peut être faim de nourriture immatérielle !

  Il fallait bien traduire ce fait dans un autre et dans cette œuvre de traduction l'esprit est toujours présent, parce qu'il en est un des rouages, c'est d'ailleurs pourquoi l'esprit est partout même dans une particule élémentaire qui n'existe pour nous que parce qu'elle passe son temps à traduire des faits de l'univers en d'autres faits, produisant le phénomène du temps, (donc même une particule n'existe que par la traduction de son milieu afin de l'exprimer en retour dans ce milieu, ce qui fait que l'esprit, le sens de l'univers est passé au travers de la particule, tout les autres phénomènes sont du même ordre, tout ce qui existe est en fait un lieu de traduction où l'esprit tente de se formaliser et de se reconnaître plus ou moins simplement)

  Ainsi l'esprit fait œuvre de traduction permanente (re-ligion) entre les 4 domaines de la réalité : l’expérience vécu, le possible et l'impossible tentation, le vrai et le faux existant (attention) et finalement le domaine du bien et du mal orientation.

Dans cette circulation périodique quelque chose d'invariant se transmet en prenant des apparences variées suivant les niveaux de consciences et les échelles de jugements dans lesquels elle est plongé.

Par nature cette intention (marque de l'esprit présent à lui-même), ne peut qu'être une croyance c'est à dire une hypothèse dont on a oublié la nature originelle d'hypothèse.

   L'intention est une proposition qui se juge déjà comme une « décision accompli » et qui propose une solution à une « attention  au monde en soi» qui est elle même le développement d'une « tentation » prenant source dans un vécu, (une connexion dynamique avec une réalité).

 Pourtant l'intention reste par nature de l'ordre du jugement, et son accompli est de l'ordre de l'inaccomplissable en absolu parce que cette intention ne s'exprime qu'au travers d'une apparence qui cache un nœud de tensions et de nécessités impossibles à déterminer précisément puisqu'elles plongent leurs racine dans cette réalité infini que l'intention tente de résoudre.

   Elle ne peut pas dépasser le stade du jugement et reste une vérité relative, pour atteindre à une certitude absolue il faudrait qu'elle se confonde avec le vécu,( ce qui est impossible, sans perdre cette distance qui lui permet justement d'expérimenter ce vécu).

  L'intention est aussi finie et localisé car elle focalise et oriente l'esprit dans un domaine défini d'avance, en ce sens elle est une "non-écoute" dans le but de faire parler quelque chose de particulier ; C'est un "non éveil", un attachement, un esclavage de l'esprit à un système d’interprétation prédéfini dans lequel on a déposé sa foi.

Par nature l'intention qui juge de la réalité ne peut être sûre car elle ne peut être que le résultat d'un système logique fini  en face d'un indéfinissable indéterminé ; C'est en ce sens qu'il faut comprendre sa dimension paradoxale qui enferme dans un devenir ( en faisant croire qu'elle nous en libère ) ;

En fait elle change le devenir mais ne libère jamais du devenir ;

Toute libération n'étant possible que par un retour dans un nouvel enfermement et dégradation de la situation.

Le devenir des choses est donc intimement lié au fait subjectif intentionnel. Vecteur d'incertitude créatrice et cela agit même au niveau le plus élémentaire, par exemple lorsque plusieurs choix sont possible et qu'une injonction de choix est faite (une mesure par exemple), une particule va en choisir un, exprimant ainsi de façons très concrète son intention de reconnaissance de son milieu univers.

  C'est ainsi que le phénomène intentionnel inhérent à tout système, devient producteur d'une illusion créatrice.

  C'est aussi ainsi que l'esprit évoqué par cette intention devient créateur de l'illusion qui  détermine en partie sa réalité.

 

 

  Ce problème paradoxal rejoint le concept extrêmement mystérieux du « miroir » et celui de la symétrie et de sa rupture.

  Un miroir est quelque chose qui « réfléchi » l'univers ( la proximité sémantique en français du fait de réflexion avec le fait de l'esprit qui « réfléchi » au sujet du monde est une ambiguïté qui exprime bien la nature omniprésente de l'esprit lui même)

Les particules sont elles aussi de petits miroir qui réfléchissent leur entourage, et qui tente de s'y adapter, de lui renvoyer son image sur leur niveau de perception.

  Pourtant cette « réflexion » n'est possible que parce que tout ne lui est pas accessible, parce qu'il y a des choses qu'elle ne sait pas réfléchir ;

  Une symétrie parfaite, un miroir parfait se confondrait totalement avec ce qu'il réfléchi et n'existerai plus.

Pour prétendre exister en tant que miroir il doit renoncer à tout savoir et tout percevoir et réfléchir !

  Ainsi sa symétrie n'est pas parfaite et comme d'habitude dans la pensée angélique on peut affirmer que si il y a un effet miroir quelque part (une symétrie) c'est parce qu'il y a une rupture de symétrie ou une méconnaissance de l'autre.

Par exemple en géométrie si il existe une figure symétrique d'une autre cela implique qu'il y ait une rupture de symétrie locale au niveau non pas de la figure elle même mais au niveau de son emplacement, ce qui leur permet de se réfléchir l'une dans l'autre au travers de cette séparation (rupture), en fait tout phénomène spatial implique une rupture de symétrie locale de la globalité.

  On remarque à quel point tout ces concepts (symétrie, miroir, connaissance, image, esprit) sont liés.

  Le fait conceptuel du miroir est très mystérieux en soi, dans la réalité un miroir c'est un objet qui réfléchi l'image des objets, c'est à dire leur expression en apparence seulement c'est à dire avec des défauts, des ruptures de symétries, il ne réfléchi pas l'intimité de l'objet,( son système de relation au monde, ce que je nomme son esprit local).

Plus un miroir est parfait et réfléchi l'objet (par exemple aussi en intimité anticipant ses intentions) et plus il se confond avec sa réflexion jusqu'à finalement devenir un avec elle.

  On peut le dire autrement, plus la connaissance est grande et moins il semble il y avoir de choses, c'est donc la méconnaissance du monde qui donne l'illusion de la multiplicité !

  D'autre part toute méconnaissance de soi, (concept de localité) implique la nécessité de se chercher « dans le monde» cela implique en retour la « communication » c'est à dire la polarité « émission-réception ».

 Il est et devient par l'expression (le message) et la vérification de l'adéquation de cette expression avec la réalité(l'interprétation), c'est à dire la réflexion, pourtant si des entités de ce type existent ensemble, chacune va tenter de se définir dans la réflexion de l'autre produisant ainsi un phénomène de transcendance universelle de ce qu'il est ( en effet ce qu'il est, est beaucoup plus que ce qu'il exprime en apparence instantanée puisqu'une partie de lui même (son âme) se trouve dans la dynamique de son milieu ) et aussi introduire dans le phénomène lui même une dimension imprévisible mais quand même structurée par les invariants sémantiques de la création imaginaire.

 

L'esprit! ce fruit donné qui sépare!

  Dans le Coran, l'ange maître de la création s'interpose entre l'homme et Dieu, c'est à dire entre la conscience libre (car seul ce qui est libre peut communier et refléter la source créative) et la réalité source d'où elle a surgit.

Par cette rébellion l'ange maître devient l'esprit qui a pour mission de faire coïncider la conscience avec la réalité et la voie qu'il choisi pour mener à bien cette mission difficile ne peut être que celle de la tromperie et de l'illusion.

Pourquoi ? Parce cette réalité originelle ne peut être assimilable à un savoir, ce n'est pas une catégorie d'un type définissable par une représentation déterministe, formelle et même représentable.

Seule l'illusion et la désillusion qu'elle occulte en elle, permet de dire « ce qui ne peut être dit sans se perdre dans une interprétation subjective», dit autrement seul une pensée en perpétuel échec permet de signifier vraiment un impensable créateur.

La rébellion de l'ange met la conscience en quête de sa réalité qui n'est pas totalement défini ; elle le met sur la voie ; Dés le départ son rôle est ambigu et il ne peut en être autrement puisque la liberté en soi est déjà ambigu ; c'est d’ailleurs par cette ambiguïté que surgit le destin et l'histoire.

 

  La conscience trompé par l'esprit rebelle qui lui est donné (bien malgré lui, pouvait il en être autrement), prend alors les productions de ses pensées pour la réalité, engendrant l'intention créatrice ;

  En d'autre terme il prend sa réalité pour la réalité parce que l'esprit( qui lui est donné par cette réalité) le trompe sur la nature de cette réalité mais en même temps il ne peut pas y accéder sans passer par l'esprit.

  L'ange porteur de la plus haute mission, celui de l'éveil au créateur, chute et devient l'esprit corrompu par l'intention, le maître du monde sous l'apparence de l'interprétation.

Seule alors reste la possibilité de l'éveil, au travers d'une intention capable de relativiser toute intention et de rester orienté et tourné vers la source véritable en se libérant lui même (et non pas par d'autres) de ces propres intentions et productions d'esprit.

  Dieu donne à l'homme le pouvoir de nommer les choses et les êtres et aussitôt l'ange de la mission suprême s'interpose ; Il est en fait ce même pouvoir de nommer mais déconnecté de sa source afin que l'homme trouve par lui même l'usage véritable de ce pouvoir, c'est à dire devienne conscience et éveil.

L'esprit ayant alors perdu de vue l'essentiel (sa liberté promise par ce don) devient l'otage de lui même au travers de sa propre liberté créatrice d'interprétation ; Il se perd dans ses pensées, s'y identifie, se dévoue corps et âme à des idoles imaginaires se précipitant ainsi dans une « histoire » en labyrinthe faite de prédations et de dominations, d'espoir vain, d'accomplissement décevant et d'insatisfaction perpétuelle l'enchaînant par l'illusion de ses intentions victorieuses à des nécessités de plus en plus prégnantes et implacables lui faisant croire qu'il s'en libérera par leur assouvissement.

Paradoxalement, les blessures terribles que ces identifications infligent, obligent l'esprit soumis à lui même à se dés identifier de ces productions et créations quand les phases de domination ne sont plus de son coté.

On pourrait bien sûr croire qu'il est possible de se maintenir par malignité dans la phase de domination perpétuelle, pourtant cela est la pire des illusions car pour réussir cela, il faudrait être capable de se dés-identifier de ce qui est condamné à sombrer dans une phase de soumissions mais cette dés-identification n'est justement possible qu'en comprenant la nature même du processus de la chute et de sa libération signifié ; Ce qui est incompatible avec la volonté de rester identifié avec ses créations d'esprit en n'en goûtant que la phase de domination.

Si cette compréhension intime n'est pas véritable et reste maligne, tôt ou tard il y a la révélation d'une tromperie et d'un piège auquel on ne peut plus cette fois ci échapper.

 

La domination est une interprétation corrompu du fait de nommer.

Nommer au départ c'est avant tout reconnaître ; L'acte en soi est paradoxal, il semble donner un pouvoir absolu d'évocation alors qu'en fait il n'y a aucun pouvoir hormis celui de l'acceptation de l'autre, sa reconnaissance en tant que partie perdu de soi même, le messager de retour depuis l'exclusion par sa mort, le signifié de la réalité source.

La réalité ne peut pas être nommé par la conscience ( ce qui la fait devenir illusion) mais elle attend de se nommer et de se reconnaître elle même par et au travers de la conscience ; C'est dans cette subtilité sémantique que réside toute la puissance de son don de liberté promise.

La conscience ne nomme pas, c'est la réalité qui se nomme au travers d'elle.

Celui qui nomme la réalité n'a fait que perpétuer cet acte absurde de s'appeler soi même en se prenant pour un autre.

C'est une formule qui signifie effectivement l'éveil mais son usage inconsidéré par l'esprit et sans prise de conscience de son signifié devient en miroir le signifié du sommeil de l'esprit, de sa chute dans son inconscience.

Le nom qui nous traverse et que l'on laisse devenir, nous éveille à ce qui se présente, nous appel à le reconnaître, il n'est plus dans l'illusion d'une domination ou soumission à la réalité mais dans sa communion ; Ce nom ne peut d'ailleurs advenir en nous que par le « non » la négation à ce que l'on croit de lui.

Le nom a le pouvoir d'évoquer, de faire advenir, de ramener à la vie ce qui était perdu, donc symboliquement de faire naître, d'accoucher d'une présence.

Celui qui nomme la présence, ce nomme lui-même en relation avec cette présence, s'il ne peut s'identifier à cette présence au travers de son nom, s'il ne se reconnaît pas dans cet autre perdu qui l'appel à se souvenir de lui-même(sa facette oublié dans l'ombre de son inconscience), il s'identifie alors à ce qui nomme sans reconnaître vraiment, sans révéler un signifié qui le transcende.

Son nom devient alors le vecteur d'une intention ( un but inaccompli) et la tentation du pouvoir de possession par le nom.

Dans la possession la communion entre la conscience et la présence ne se fait pas ;

La possession établit toujours une relation inaccompli de domination et de non reconnaissance de l'autre en soi ;

Il faut qu'il soit exclu de soi afin de pouvoir en faire usage dans l'orientation d'une intention précise.

Tout cela surgit lorsque le don de liberté initial a été perdu (la présence est désormais identifié avec le nom que lui a donné « l'esprit »)

Le nom n'est plus le moyen d'appeler et d'éveiller mais le moyen de manipuler et de soumettre à une intention.

 

L'Ange initialement est le messager, la colle universelle rendant possible l'harmonie d'un tout paradoxal ; Il est aussi le guide qui mène vers le signifié, il est donc intimement lié au nom et au langage ; Il vit d'ailleurs dans le langage.

Le fait de vouloir s'approprier le pouvoir de nommé, donné par la présence à la conscience, le fait devenir « esprit ».

De guide il devient gardien qui refuse de la reconnaître pour ce qu'elle est en essence ; Il n'est plus alors le messager car il a corrompu l'information par le fait d'une intention ; La présence doit alors se plier à cette intention ; C'est alors la présence qui se voit obligé de refléter la réalité que l'esprit c'est approprié alors que l'intention initiale de la situation était de faire en sorte que ce soit la présence qui se reflète dans la réalité subjective de l'esprit.

La peur est centrale dans ce phénomène ; La prise de conscience d'un soi implique la prise de conscience d'une séparation qui montre une inéquation fondamentale entre ce que l'on pense et ce qui est pensé ainsi que le danger que cela implique par l'incertitude évoqué par cette situation.

C'est ainsi que s'enclenche le cycle émotif à la base de toute réalité imaginaire.

On peut considérer l'émotion comme l’énergie libre et dangereuse qui s'échappe de cette imparfaite ressemblance ; C'est elle qui est à l'origine de l'élaboration d'une orientation intentionnelle pour rétablir la parfaite connexion (communion) entre la présence et la conscience.

La peur mène a la préoccupation, à laquelle répond l'exaltation et la joie d'une solution imaginaire mais si cela ne fonctionne pas bien vient la colère et sa domination qui en cas de frustration produit la tristesse qui finalement produit un détachement ou une réflexion ou indifférence qui à son tour fait peur…

La circulation émotive est trans-corporelle, cela veut dire qu'elle se transmet d'une identité sur l'autre à la recherche d'une conscience adapté à sa résolution ; Il n'y a pas de conscience singulière, toute conscience implique un fait ou un acte partagé.

L'émotion fonctionne un peu comme le climat ou milieu de vie (atmosphère), elle guide de façons très générale les intentions potentielles qui s’exprimeront alors différemment dans chaque cas particulier.

Sur une planète, l'émotion pourrait être assimilé structurellement aux cycles écologiques tel par exemple celui du carbone et dans le corps aux phénomènes hormonaux transporté par le sang.

Ce concept de cycle, de transport d'un état commun surgit dans tout système en partie indéterminé et générateur d'énergie libre, c'est à dire d'une détermination n'ayant pas trouvé sur quoi se fixer.

Cette circulation produit une histoire possible porteuse de nombreux destins particulier qu'elle emporte en son sein et elle est directement la conséquence de l'esprit du NON, de ce qui n'a pas trouvé sa place parce qu'il est de trop ou de moins.

Ce NON est à l'origine de ce nom qui doit chercher sa personne véritable, la reconnaître dans l'autre qui l'appel et non pas lui imposer une personne usurpé à sa réalité.

 

Dans le langage angélique :

n = manque, faim ;

d = porte, intention, restriction permissive, orientation ;

m = matrice ;

 

nom (ination) = semer le manque dans la matrice (en action)

dom (ination) = semer l'intention dans la matrice (en action)

 

 Le langage angélique est aussi le langage diabolique, puisque les 2 concepts sont inséparables, le démon est un ange déchu, ce qui veut dire qu'il a perdu le sens de ces paroles, d'ailleurs pourrait il y avoir de lumière sans feu?

 La différence entre l'ange et le démon réside dans le signifié, le démon fait la même chose que l'ange, il prie, il aime, il fait le bien mais il le fait sans comprendre ce qu'il fait, ces paroles et ces actes ne sont que la répétition d'un ordre ou d'une croyance ou d'une peur, il est endormi, il a sombré dans l'inconscience alors il ne comprend pas ce qui se passe et tombe dans le jugement de l'autre, du jugement au châtiment il n'y a qu'un pas, comme il ne comprend toujours pas, tout devient diabolique, tout semble se retourner contre lui, finalement pour le bien à tout prix, il tente de détruire cette erreur qui revient toujours et sans même s"en rendre compte le voilà semant  la douleur et plus il détruit et plus ce qui souffre tente de le détruire à son tour, le paradis est devenu un enfer.

 Le paradis n'est qu'un monde  vivifié par la communication et la compréhension mutuelle, l'enfer est ce même monde sans communication.

 Lorsqu'on refuse de donner un sens au chose, elle deviennent alors diabolique, c'est le sens qui transforme le démon en ange, pas la guerre et la destruction.

 Tenter de détruire le démon qui n'est qu'un ange mal compris, produit un enfer perpétuel puisque il est en essence éternel, il appartient aux principes qui fondent les mondes, il ne peut que réapparaître ailleurs!

 Vaincre le mal est la meilleure façons de le perpétuer, seule l'écoute et la compréhension mutuelle permet de le rendre insignifiant en lui donnant un rôle à jouer, finalement le mal n'est qu'un message (les anges sont les messagers des principes universaux) que personne ne veut recevoir et tenter de déchiffrer parce que cela remet en question sa place dans le monde.

 

 Defeat evil is the best ways to perpetuate it.

  only listening and mutual understanding helps to make it insignificant